Rénovation

Améliorer DPE d’un appartement : travaux énergétique

18 mai 2025
renovation dpe

Vous avez un DPE médiocre pour votre appartement ? Pas de panique, des solutions existent pour transformer votre logement en une référence de performance énergétique. Découvrez les travaux de rénovation clés – isolation thermique, optimisation du système de chauffage, audit énergétique – pour améliorer votre diagnostic performance énergétique, réduire vos consommations et revaloriser votre bien. Suivez notre guide expert pour des économies d’énergie concrètes et une note DPE durablement boostée.

Sommaire

  1. Isolation des murs
  2. Remplacement des fenêtres
  3. Isolation de la toiture
  4. Amélioration du système de chauffage
  5. Installation d’une ventilation performante
  6. Isolation des planchers bas
  7. Installation de panneaux solaires
  8. Remplacement des appareils électriques
  9. Audit énergétique
  10. Amélioration de l’étanchéité à l’air

Isolation des murs

L’isolation des murs est un levier important pour améliorer le diagnostic de performance énergétique d’un logement. Les parois constituent une source majeure de déperditions thermiques, représentant 20 à 25% des pertes de chaleur dans un appartement.

Les techniques principales d’isolation incluent l’isolation thermique intérieure (ITI) et l’isolation thermique extérieure (ITE). L’ITE offre généralement de meilleures performances thermiques en limitant les ponts thermiques, mais nécessite l’accord de la copropriété pour les parties communes.

Pour une isolation performante, privilégiez les laines minérales, le polystyrène expansé ou extrudé, ou les isolants biosourcés comme la ouate de cellulose. Ces matériaux offrent un bon rapport qualité-prix et un coefficient de conductivité thermique adapté aux exigences de la rénovation énergétique.

MatériauConductivité thermique (λ) en W/m.KRésistance thermique (R) en m².K/WPrix moyen au m²
Laine de verre0,030 à 0,0402,5 à 510 à 20 €
Polystyrène expansé0,030 à 0,0382,5 à 620 à 30 €
Ouate de cellulose0,039 à 0,0402,5 à 4,515 à 25 €
Liège expansé0,037 à 0,0402,5 à 425 à 40 €

Une isolation thermique bien exécutée permet d’améliorer significativement le DPE. L’isolation par l’extérieur peut faire gagner 2 à 3 classes énergétiques, tandis que l’isolation intérieure apporte généralement un gain d’une classe sur le diagnostic performance énergétique.

En copropriété, l’isolation des murs extérieurs nécessite des démarches spécifiques. L’isolation par l’extérieur implique l’accord de la majorité simple des copropriétaires, tandis que l’isolation intérieure relève du domaine privatif et est plus facile à réaliser individuellement.

Remplacement des fenêtres

Les fenêtres représentent 10 à 15% des déperditions thermiques d’un logement. Un remplacement du simple vitrage par du double vitrage peut permettre d’économiser jusqu’à 45% sur les frais de chauffage et d’améliorer le diagnostic performance énergétique.

Le double vitrage standard offre un coefficient Ug de 1,1 à 1,2 W/m²K. Le triple vitrage abaisse ce coefficient à environ 0,5 W/m²K, avec une performance accrue de 40%. Il est particulièrement pertinent pour les façades nord et est.

Les menuiseries représentent jusqu’à 25% des déperditions thermiques totales. Le PVC offre une meilleure isolation thermique naturelle que l’aluminium, avec un coefficient Uw inférieur. Le bois combine performance énergétique et esthétique naturelle.

Pour choisir des fenêtres performantes, vérifiez ces critères essentiels :

  • Labels et certifications : Privilégiez les fenêtres avec le label CSTBat, la certification NF et le statut RGE pour garantir une rénovation énergétique éligible aux aides financières.
  • Coefficient Uw inférieur à 1,3 W/m²K : Vérifiez que ce paramètre d’isolation thermique globale soit conforme aux normes pour améliorer le DPE de votre logement.
  • Classement AEV: Contrôlez la résistance à l’air (A), à l’eau (E) et au vent (V) pour des performances énergétiques optimisées.
  • Matériau adapté: Optez pour du PVC pour un bon rapport qualité-prix ou du triple vitrage en zone froide, en veillant à conserver les apports solaires en climat tempéré.

En plus des économies d’énergie, le remplacement des fenêtres améliore le confort acoustique. Des fenêtres performantes réduisent les nuisances sonores extérieures de 30 à 40%, tout en augmentant la valeur immobilière de votre bien.

En copropriété, le changement de fenêtres nécessite des démarches spécifiques. L’accord de la majorité simple des copropriétaires est requis si le projet modifie l’aspect extérieur, avec une déclaration préalable en mairie dans la plupart des cas.

Isolation de la toiture

Le toit est responsable de 25 à 30% des déperditions thermiques d’un appartement. Cette isolation s’impose pour les logements sous combles, réduisant significativement la consommation énergétique et améliorant le confort thermique.

Pour les combles perdus, l’isolation par soufflage de laine de cellulose ou de verre offre un bon résultat. Les combles aménagés exigent une isolation des rampants par l’intérieur ou l’extérieur, avec des panneaux de laine minérale ou du polyuréthane pour une performance optimale.

Les laines minérales restent les plus compétitives en termes de rapport qualité-prix. Le polyuréthane et le PIR offrent une excellente résistance thermique mais un prix plus élevé. Les isolants biosourcés comme la laine de mouton ou le chanvre apportent des qualités écologiques et un déphasage thermique intéressant.

Une isolation correcte du toit peut permettre de gagner 1 à 2 classes sur le DPE. Les économies d’énergie atteignent couramment 25 à 30% sur la facture de chauffage, avec un retour sur investissement rapide grâce aux aides financières disponibles.

Les appartements en dernier étage nécessitent une attention particulière. L’isolation par l’extérieur avec un sarking protège efficacement contre les déperditions thermiques, tandis que l’isolation par l’intérieur optimise l’espace disponible sans modifier la façade.

En copropriété, l’isolation de la toiture exige une concertation avec le syndic. Les aides comme MaPrimeRénov’ Copropriété facilitent ces travaux sur parties communes, avec un vote en assemblée générale des copropriétaires pour les interventions sur la structure existante.

Amélioration du système de chauffage

Le chauffage représente plus de 70% des dépenses énergétiques d’un foyer. Un système performant améliore significativement le DPE, permettant de passer de la classe G à une classe supérieure, avec des économies pouvant atteindre 15 à 35% sur la facture énergétique.

Les pompes à chaleur air-eau et air-air offrent d’excellentes performances énergétiques. Les chaudières gaz à condensation permettent d’économiser 20 à 30% d’énergie par rapport aux modèles classiques. Pour les logements électriques, les radiateurs à inertie ou panneaux rayonnants sont adaptés à l’isolation thermique optimisée.

Les pompes à chaleur utilisent des énergies renouvelables et peuvent faire gagner jusqu’à deux classes DPE. Elles sont particulièrement adaptées aux appartements avec des modèles air-air sans unité extérieure, bien que l’accord de la copropriété soit nécessaire pour l’installation.

Pour optimiser un chauffage collectif, l’individualisation des frais selon la consommation réelle est obligatoire dans certains cas. L’entretien régulier de la chaufferie gaz et l’installation de robinets thermostatiques sur les radiateurs permettent des économies significatives, estimées à 28% par l’ADEME.

Les robinets thermostatiques réduisent la consommation énergétique en régulant la température pièce par pièce. Un ajustement de 1°C permet déjà d’économiser 7% d’énergie, avec un impact financier estimé entre 10 et 40% d’économies annuelles sur la facture de chauffage.

  • Performance énergétique : Les systèmes utilisant des énergies renouvelables (pompe à chaleur, chaudière basse température) sont privilégiés pour améliorer le DPE.
  • Adaptation à l’appartement : Prioriser les solutions sans réseau de distribution pour les appartements (radiateurs électriques, pompe à chaleur air-air).
  • Puissance nécessaire : Calculer la puissance en fonction de la surface et de l’isolation pour éviter la surconsommation.
  • Entretien : Un système bien entretenu maintient son efficacité et prolonge sa durée de vie, garantissant un bon retour sur investissement.
  • Aides financières : Vérifier l’éligibilité aux aides comme MaPrimeRénov’ pour réduire le montant des travaux de rénovation énergétique.

Installation d’une ventilation performante

Une ventilation efficace améliore le DPE en maintenant une qualité d’air optimale. La VMC double flux récupère jusqu’à 90% de la chaleur de l’air extrait, réduisant les besoins de chauffage et les risques d’humidité qui pénalisent le diagnostic performance énergétique.

La VMC simple flux extrait l’air vicié pour créer une dépression aspirant l’air neuf. La VMC double flux récupère la chaleur de l’air évacué pour préchauffer l’air entrant, idéale pour les appartements bien isolés avec des économies de 7 à 10% sur le chauffage.

La VMC double flux optimise la performance énergétique en récupérant la chaleur perdue. Elle permet d’économiser jusqu’à 230 € annuels sur l’énergie et améliore le confort thermique. Son retour sur investissement s’échelonne sur 7 à 10 ans grâce aux aides financières et aux économies réalisées.

L’installation d’une VMC en appartement nécessite des contraintes techniques. La VMC simple flux, plus compacte, s’adapte aux espaces réduits. En copropriété, l’accord du syndic est obligatoire pour les percements extérieurs. Les modèles sans conduit nécessitent un mur donnant sur l’extérieur.

L’entretien régulier prévient les problèmes d’humidité. Nettoyez les bouches d’extraction tous les 6 mois. Remplacez les filtres annuellement pour les VMC double flux. Un nettoyage complet par professionnel tous les 3 ans préserve l’efficacité et prolonge la durée de vie du système.

En copropriété, l’installation d’une VMC nécessite une autorisation. Le projet doit être voté en assemblée générale si les parties communes sont impactées. Le syndic doit être informé de toute modification du système de ventilation collectif avant les travaux.

Isolation des planchers bas

Un plancher mal isolé entraîne 7 à 10% de déperditions thermiques. Isoler cette surface améliore le confort et réduit la consommation énergétique, un levier clé pour revaloriser son DPE.

En appartement, l’isolation se réalise par le dessus (laine de verre entre solives) ou par le dessous (panneaux sous plafond). Les isolants biosourcés sont recommandés pour leur équilibre hygrométrique et leur faible impact écologique.

Pour les sols en bois, la laine de verre ou de roche offre un bon rapport qualité-prix. Le polystyrène expansé convient aux planchers béton, tandis que le polyuréthane, bien que plus coûteux, permet des épaisseurs réduites dans les espaces restreints.

Les appartements en rez-de-chaussée sur caves nécessitent une isolation par sous-face. Les panneaux isolants rigides fixés au plafond de la cave limitent les déperditions, améliorant le DPE sans modifier l’espace intérieur.

Une isolation bien exécutée fait gagner 1 à 2 classes sur le DPE. Les économies atteignent 10% sur la facture énergétique, avec un retour sur investissement en 5 à 8 ans grâce aux aides comme MaPrimeRénov’.

En copropriété, isoler son plancher ne nécessite pas d’accord si les parties privatives sont concernées. Les travaux sur parties communes (caves) exigent une délibération votée en assemblée générale des copropriétaires.

Installation de panneaux solaires

Installer des panneaux solaires en appartement est possible via le toit de la copropriété ou un balcon. La loi autorise cette solution sous réserve d’accord en assemblée générale et de respecter le règlement de copropriété.

Les panneaux photovoltaïques produisent de l’électricité pour améliorer le DPE, tandis que les panneaux thermiques génèrent de la chaleur. Les premiers sont intégrés au DPE depuis 2021, valorisant l’autoconsommation d’énergie renouvelable.

En copropriété, un projet solaire collectif nécessite l’accord de la majorité des copropriétaires. L’électricité produite peut alimenter les parties communes ou être redistribuée individuellement, avec un syndic pouvant jouer le rôle de gestionnaire.

Plusieurs aides financent l’installation : MaPrimeRénov’ sous conditions de ressources, TVA réduite (5,5% ou 10%), éco-prêt à taux zéro jusqu’à 30 000 €. Le retour sur investissement s’effectue en 12 ans en moyenne avec une rentabilité de 9 à 15%.

L’ajout de panneaux solaires augmente la valeur immobilière de 5 à 10% selon certains exemples. Le DPE bénéficie de cette amélioration, les logements A/B se vendant 6 à 14% plus cher que les classes inférieures.

L’installation implique des démarches administratives. Une déclaration préalable est obligatoire pour les modifications extérieures. Les travaux doivent respecter les réglementations thermiques et l’isolation obligatoire dans les rénovations importantes, avec un DPE fourni dès les visites.

Remplacement des appareils électriques

Les appareils électriques représentent une part significative de la consommation énergétique, surtout pour les ménages avec de nombreux équipements. Bien que le DPE conventionnel n’intègre pas cette donnée, leur remplacement par des modèles économes améliore le confort et réduit les dépenses globales.

Les étiquettes énergétiques, de A à G, simplifient le choix des appareils. Un modèle A+++ consomme moins qu’un A, et 50% de moins qu’un D. Cette information guide vers des solutions durables et économiques pour un projet de rénovation.

Les appareils prioritaires incluent les chauffe-eau, réfrigérateurs anciens et systèmes de chauffage électrique. Remplacer un convecteur par un radiateur à inertie ou une pompe à chaleur améliore le DPE et réduit les factures de 10 à 25%.

Appareil remplacéÉconomie annuelle moyenneCoût de remplacementRetour sur investissement
Réfrigérateur A+++ vs D150 €/an800-1 200 €5-7 ans
Plaque induction vs vitrocéramique50 €/an400-800 €5-10 ans
Chauffe-eau thermodynamique vs électrique600 €/an1 500-2 500 €3-5 ans
Éclairage LED vs halogène80 €/an100-200 €1-2 ans

Les solutions d’éclairage LED génèrent des économies de 80 à 90% par rapport aux ampoules classiques. Un usage raisonné, comme l’installation de détecteurs de mouvement, optimise ces résultats avec un investissement minimal.

Les systèmes domotiques surveillent et contrôlent la consommation en temps réel. Un programmateur ou des prises connectées limitent les gaspillages. Avec un budget de 50 à 200 €, ces outils réduisent la consommation de 10 à 20% rapidement.

Audit énergétique

Réaliser un audit énergétique avant des travaux permet d’identifier les points faibles de votre logement. Ce diagnostic est obligatoire pour vendre un logement classé F ou G au DPE. Il devient indispensable pour optimiser votre projet de rénovation énergétique.

Deux types d’audit coexistent. L’audit réglementaire concerne les logements F/G à la vente. L’audit incitatif, éligible à MaPrimeRénov’, propose un plan de travaux personnalisé. Le choix dépend de votre projet : cession immobilière ou rénovation proactive.

L’audit s’effectue en trois étapes. L’expert réalise une visite technique, analyse les déperditions thermiques, puis rédige un rapport détaillé. Ce document montre les scénarios de rénovation avec un classement de la performance énergétique.

Le coût varie entre 500€ pour un appartement et 1500€ pour une maison. MaPrimeRénov’ peut couvrir une partie des frais. Des aides locales complètent le dispositif pour faciliter l’accès à la rénovation énergétique.

Investir dans un logement ancien nécessitant des travaux ou opter pour un bien neuf dépend de l’analyse des résultats d’un audit énergétique, qui éclaire les coûts et bénéfices à long terme.

Le rapport d’audit priorise les travaux en fonction de leur impact. Les rénovations les plus rentables apparaissent en premier, comme l’isolation thermique ou l’amélioration du système de chauffage. Ce classement guide vers une rénovation efficace.

Les auditeurs doivent être certifiés RGE Etudes selon la norme NF EN 16247. Les qualifications OPQIBI 1911 ou AFNOR Certification 01 A garantissent la compétence technique. Ces experts maximisent l’éligibilité aux aides publiques.

Amélioration de l’étanchéité à l’air

Les infiltrations d’air causent 20 à 25% des déperditions thermiques. Un tiers de la chaleur perdue provient des fuites d’air. Améliorer l’étanchéité optimise le DPE et réduit les coûts de chauffage, tout en supprimant les courants d’air.

Les points critiques incluent les fenêtres, prises électriques et portes. Détectez les fuites avec une bougie allumée : la fumée indique les failles. Le test d’infiltrométrie quantifie les pertes et guide les travaux prioritaires pour un logement économe.

Le calfeutrage des fenêtres avec du silicone ou du mastic réduit les pertes de chaleur de 30%. Les joints d’étanchéité et les bas de porte éliminent les courants d’air. Ces solutions simples améliorent le confort et limitent les besoins énergétiques.

Les passages de câbles et canalisations se colmatent avec de la mousse expansive ou des boîtes étanches. Ces points, souvent négligés, représentent 15% des déperditions. Un traitement rigoureux évite les fuites et maximise l’efficacité des travaux de rénovation.

Le test d’infiltrométrie mesure la perméabilité de l’enveloppe du bâtiment. En simulant une pression équivalente à un vent de 55 km/h, il localise les failles. Ce diagnostic est obligatoire pour les rénovations BBC et guide les améliorations du DPE.

Une étanchéité optimale doit s’équilibrer avec une ventilation adaptée. Sans renouvellement d’air, l’humidité et les polluants s’accumulent, nuisant à la santé. Une VMC double flux préserve la qualité de l’air tout en conservant la chaleur.

SolutionPriorité d’interventionCoût moyenGain énergétiqueAides financières
Isolation des mursTrès élevée pour les passoires thermiques50-150 €/m²Réduction de 25-40% des déperditions thermiquesMaPrimeRénov’, éco-PTZ, CEE
Remplacement des fenêtresÉlevée pour les simples vitrages200-500 €/unitéÉconomies de 10-20% sur le chauffageMaPrimeRénov’, TVA réduite
Amélioration système chauffageImportante pour les systèmes anciens1 500-10 000 €Économies de 15-35% sur la factureMaPrimeRénov’, aides locales
Isolation des planchers basMoyenne, spécifique aux RDC30-70 €/m²Économies de 10-15%MaPrimeRénov’, éco-PTZ
VMC double fluxMoyenne à élevée en cas d’humidité1 000-4 000 €Économies de 10-15% avec récupération chaleurMaPrimeRénov’, aides locales
Panneaux solairesÉlevée pour projet durable8 000-15 000 €Compense 20-50% des besoins énergétiquesPrime à l’autoconsommation, aides locales
Remplacement appareils électriquesBonne entrée en matière200-2 000 €/appareilÉconomies modérées mais immédiatesÉco-chèque CEE, aides ponctuelles
Audit énergétiqueObligatoire avant travaux400-1 000 €Ordonne les travaux par ordre de prioritéAides régionales spécifiques
Étanchéité à l’airHaute pour les bâtiments anciens500-1 500 €Économies de 15-25%MaPrimeRénov’, aides locales

Un T2 à Lyon 9 illustre une alternative intéressante pour ceux qui hésitent entre rénovation et achat. Les logements neufs sont conçus pour des diagnostics performance énergétique optimisés.

Améliorer la performance énergétique de votre logement commence par l’isolation des murs et des combles, un système de chauffage moderne, et un audit pour prioriser les travaux. Anticipez les obligations 2025 : chaque euro investi aujourd’hui réduit vos factures et augmente la valeur de votre bien. Votre appartement mérite une seconde jeunesse : engagez-vous dès maintenant, sans attendre que la réglementation vous rattrape. Le futur énergétique commence chez vous.

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Nos experts vous accompagnent à chaque étape pour définir la meilleure stratégie d’investissement adaptée à vos objectifs.

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